Bienvenue dans l’univers de

John-Frédéric Lippis 

« La musique, je ne la joue pas , je la vis. »

L'amour du public

« J'ai réussi ma vie pendant que d'autres ne pensaient qu'à gagner la leur. »

 

« Je ne me suis jamais appauvri en partageant. »

 

« L'art est de tout retourner sans faire de poussière. »

 

« On ne triche pas devant un cœur qui bat. »

 

« Je n'ai pas d'égo, je passe à travers le miroir à chaque récital, sans m'être regardé avant. Le reflet de l'artiste, sa beauté, sa grandeur, c'est le public qui le donne. »

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L'histoire

Né en 1971 un 28 septembre à Thionville, titulaire de la double nationalité française et italienne. D’une mère lorraine et d’un père né en Italie à Taranta Peligna (CH). L'histoire de cette famille, de l'après guerre, partie de rien est forte par l'humanité avec laquelle elle va évoluer. Si la maman en sera le socle, le  papa va bâtir la maison familiale en 1971 (photo ci-contre), l'année de naissance de son fils, qui sera bien plus qu'un domicile mais un lieu de création tant pour le père et John-Frédéric. Son père y installera son auto-école, sa société de transport, ou des milliers de clients sont passés au son de la musique, le fils  plus tard installera son home studio offert par son père pour parfaire ses enregistrements. Cette maison est le symbole de la famille, sa réussite, ses échecs, ses nombreuses fêtes, un lieu de rencontres musicales, un partage, d'où tout est parti, jusqu'à encore son titre "Memory" sorti en 2017, ou son Académie de piano, toujours sur place, toute sa carrière a été géré et généré dans ce QG familial. Et Aujourd'hui encore...


Une enfance heureuse, il reçoit une éducation rigoureuse. L'émotion a eu une part importante dans son éducation. Ce détail a équilibré et renforcé John-Frédéric. Un enfant très timide qui va s'ouvrir aux autres, avec et grâce à la musique, puis s'épanouir. Une vie saine pour une vie scène. Sa maturité étonne. Adolescent, on lui disait « qu'il avait 50 ans dans la tête. » 

Une grande satisfaction de sa vie est d'avoir partagé la scène avec son père qui l'accompagnait à ses débuts pour des animations ou encore lors de son dernier concert

"Profumo d'Italia" en 2010. (photo ci-contre)

Avec John-Frédéric Lippis le mot "famille" a pleinement son sens, il est la base, tout est lié à cela, de ses parents jusqu'à ses 3 enfants aujourd'hui.

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    Il commence ses premiers cours de musique en 1980 à l’âge de 9 ans et décide de frapper fort en choisissant la batterie, quelques mois plus tard il double son plaisir avec l’accordéon qui lui soufflera bientôt l'amour de la scène, du public, de la musique populaire. Il remporte très vite un Premier Prix avec 89% des points et félicitations du jury avec l’accordéon dans un concours Européen de l’UEPA le 5 juin 1981. Il s'illustre. John va se lancer dans l’apprentissage de la guitare classique.


    Dès l'âge de 11 ans, il sait qu'il fera de la musique son métier. Plus encore, il le ressent. C'est pendant ses années d'adolescence que se dessinent sa philosophie, son ambition, sa passion pour la musique, la création, son amour des gens, et de la vie. Il perçoit déjà tout ça. La musique va être l'instrument de son expression, une alliée, son bouclier. C'est son père , musicien, jouant de l'accordéon, de la guitare, qui le mène vers la musique.


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Seul au piano, il emporte le public dans ses envolées, ouvert à tous les styles, il est une invitation au voyage. L'harmonie et le partage sont son oxygène, un océan de générosité. Sa musique est intérieure, son but est ailleurs : le cœur.

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L'instinct

À 11 ans, en 1982, il participe avec l’accordéon à son premier bal. John a goûté désormais à la scène, et scelle à jamais son histoire d'amour avec le public. Il dira plus tard que « le bal est la meilleure école pour la scène » même si ensuite son milieu classique lui reprochera cette appartenance à la musique populaire, lui en sera toujours fier d'appartenir à deux mondes différents.


C'est l'année de sa communion, et il découvre la beauté des chants interprétés par la chorale avec leur résonance dans l'église. Il est subjugué par la grandeur et la puissance de l'orgue et des voix qui s'entremêlent.

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    La musique va prendre peu à peu une place particulière dans sa vie. Sa sœur lui offre cette année-là, un baladeur qui sera incontournable dans son quotidien. Il est aussi fasciné par la libéralisation des ondes françaises en 1981. Et ce n'est que trois ans plus tard lorsque ses parents lui offrent un radio-cassette pour son anniversaire qu'il va devenir passionné par la radio; à l'écouter jusque tard dans la nuit, de la musique, rien que de la musique. Sa grande sœur, de 13 ans son aînée, est une fan absolue de Balavoine. Elle est de tous ses concerts, si bien qu'il la reconnaît au moment des dédicaces après les représentations. John-Frédéric entend en boucle les tubes de ce monument de la chanson française. Ce qu'il va aimer est son intérêt pour la technologie dans la réalisation de ses chansons et sa personnalité, son franc parlé, puis son action humanitaire. Le tourne-disque Philips de sa grande soeur chauffe depuis des années, des 33 Tours aussi variés qu'inattendus : de la chanson française, de l'accordéon avec Marcel Azzola, André Verchuren, au groupe Kiss ( le premier disque qu'il s'est offert), la comédie musicale Grease, les Bee Gees et Mozart, Beethoven, Bach... La musique classique est présente. Il est ouvert à toutes les musiques et styles.


    À 13 ans, il s’engage dans l’animation de services gériatriques d’hôpitaux, notamment celui de Sierck-les-Bains. Là, au contact des patients, il comprend que la musique peut apporter plus qu’une simple animation mais un accompagnement de vie, une émotion. Ceci annonce le début de son engagement bénévole, surtout humain. Cela change son regard sur la vie et va impacter sa façon de faire de la musique.


    En 1985, il découvre la pension en entrant au Séminaire St Vincent de Paul de Cuvry, un bref passage qui va changer sa vie, lui donner toute la profondeur qu'il recherche et grâce à cette expérience il scellera la rencontre avec son instrument de prédilection : le piano. Après avoir joué quelques années plutôt dans l’atelier du luthier Pierre Platini qui croyait en lui dès l’âge de 10 ans, c’est le Père Gaston Jennat qui lui donnera ses « premiers » cours pour un retour vers le piano. Puis Mme Olga Lacinski professeure émérite qui prendra ensuite la formation musicale de John, encadré par les cours de Pierre Nérini professeur au conservatoire national supérieur de Paris. Mme Lacinski sera très stricte avec John allant jusqu’à lui attacher les doigts avec de la ficelle… 


Auteur compositeur arrangeur

1985, il fait ses premières compositions « Musicien de Cristal », « Un giorno al mare », « Amérique à moi », ou encore « La Comète de Halley ». John est le créateur paroles et musiques : ce qui surprend est qu’il écrit la partition avec les arrangements pour chaque instrument à seulement 15 ans. Son père s'adresse à la Sacem et montera le dossier d'auteur compositeur avec son fils.

Le personnage John-Frédéric Lippis se dessine, il est ambitieux. Il veut apprendre, se discipline, il dévore les livres, joue des heures entières chaque jour, compose ou écrit très tard le soir jusqu'à la nuit.

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    En septembre 1985, devant les progrès de son fils, ses parents lui offrent une panoplie d’instruments, un orgue à boutons, une sono et des enceintes puissantes pour les animations dansantes qu’il enchaîne. Et surtout l’année suivante un cadeau que John attendait, le meilleur synthétiseur du moment : le sublimissime Yamaha DX7. C'est lui qui choisit ses instruments, il connaît les marques, les caractéristiques, etc. 


    Il installe ce matériel dans la salle où sont projetées les séances d’apprentissage du code de la route dans l’auto-école de son père. Il profite d'offrir des mini concerts aux clients de son père juste après les séances de code de la route. Si ce geste est apprécié, John-Frédéric en fait son premier public. Il teste les musiques et ses interprétations. Il est à l'affût de leur moindre réaction.


    Dès qu'il posa ses mains sur le DX7, inspiré, il créa sa chanson « Musicien de Cristal ». Si la mélodie lui est venu d'un trait, l'écriture du texte en fut de même. C'est la première fois qu'un texte venait si vite. Il raconte la vie d'un enfant qui rêve de devenir musicien. Et qui va réaliser son rêve à travers une discipline et des choix. 1986, outre le nombre impressionnant d'animation qu'il boucle avec son père dans des après-midi ou soirées privées, c'est l'année de l'enregistrement de son premier titre en studio d'enregistrement : « Musicien de Cristal ». Magnéto 16 pistes à bandes, immense console, etc. Il découvre un monde qu'il va adorer. Le studio, la création. Son papa appelait les grands studios, des cathédrales du son, et ils en ont visité et posé des valises dans ces grands studios.


    Le 20 avril 1986 avec l’accordéon, il participe à un autre concours européen et obtient un Premier Prix Médaille d’or avec 89 % des points. Ça y est, John est finaliste des championnats d’Europe d’accordéon à Gand (Belgique), en catégorie semi professionnelle. A l’accordéon lors du concours il a interprété la complexe « Marche Turque » de Mozart. Mais c’est désormais bien le piano et la composition qui passionnent l’adolescent de 15 ans. Si bien qu'il déchire son courrier de qualification à la finale et ne s’y rend pas et se sépare de son professeur d'accordéon. Il tourne la page de sa formation d'accordéoniste et se tourne pleinement vers le piano.


    Il a déjà ses marques de piano préférées, Steinway & Sons, il est séduit par le modèle B211, puis le Bösendorfer le comblera où certaines de ses compositions sont pleinement interprétées par la puissance et la qualité des basses.

    La création le transcende, l’apaise, le grandit. Sa volonté première est d'éclore ce qu’il a en lui. Il vit avec intensité et générosité. Il apprend seul à écrire sa musique, ou encore l'harmonie, et l'écriture d'arrangements pour orchestre. Il s'enferme et travaille, il est très exigeant, dur, avec lui-même. 


Une carrière internationale, une présence affirmée

L'artiste a une relation particulière avec les gens, il interpelle, il y a quelque chose de profond et  d'authentique. La vie d'artiste n'est pas facile. Il doit sa constance à un mental solide, un équilibre familial et à la discipline. L'humilité.


Début 1987, sa progression de créateur et musicien se confirme, il débute l’année en studio d’enregistrement et son énorme potentiel à tout juste 16 ans en épate plus d'un. L'auteur, compositeur, arrangeur et interprète, John-Frédéric maîtrise les outils, s'investit dans la recherche de sons, la programmation. Son matériel fétiche à l'époque, sera les synthés, Oberheim, Roland Juno 9, DX7, ARP 2600, Moog MemoryMoog, Sequential Circuits Prophet 5 ou encore la boîte à Rythme LINE 9000.. En entrant dans un studio, avant de regarder le matériel, il hume l'environnement, ces machines et ce bois et matières qui font l'acoustique.

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    Il envoie sa maquette dans les maisons de disques, si le retour est positif jusqu’à être reçu par des directeurs artistiques qui l’encouragent, aucun contrat n’est signé. John ne se décourage pas. John déposera son dossier d’auteur compositeur à la Sacem, il en sera alors un des plus jeunes membres. Avec son père il crée alors Lippis Productions en 1987.


    À l'âge où ses copains jouent encore, lui, s'adonne à la création de son réseau et développement de son "entreprise". Il a compris très tôt le sens des affaires et qu'il ne suffit pas d'avoir du talent pour réussir ou de connaître des célébrités.


    Désormais John-Frédéric se rend chaque semaine à Paris pour ses cours de musique et ses rdv, il pose ses pierres une à une. Seul en train, il n’ a que 16 ans, ou en voiture accompagné par son père, il bouge.


    Cette même année 1987, fidèle aux racines de son père et à sa foi en Dieu, il compose deux musiques sur un cantique à l’occasion d’une grande célébration religieuse de « La Festa della Madonna della Valle » en Italie dans le village natal de son père à Taranta Peligna (Abruzzes). Ce qui va ravir les gens de la région.


    Juillet 1987 marque aussi le souhait et l’aboutissement d’une réflexion de John-Frédéric : Utiliser la musique pour humaniser et pacifier les gens, la société. Il a été émerveillé par USA for Africa "We are the world", un déclic. Il enregistre sa première chanson engagée « Sans Alcool » pour la lutte contre l’alcool au volant qu’il compose à l’occasion d’une fête « Sans Alcool » organisée par l’association « Sanzal Plamat ». Très préoccupé par la sécurité routière, il a grandi dans l’auto-école de son père. Cette chanson, dès sa présentation au public sera très appréciée, il gagnera même plusieurs trophées dans des concours de chants, et elle fera même un brin de scandale, lorsque John-Frédéric, courageux, aura l’idée de l’interpréter dans les discothèques, là où la consommation d’alcool augmente. « Les gens dansaient bouteille en main sur la piste pendant que je l'interprétais, cela se finissait toujours bien, mais il m'en 

    aurait fallu bien plus pour me décourager. Ce que je souhaitais est qu'ils rentrent chez eux vivants. » 


    Son engagement associatif intervient à ce moment, où à 16 ans, il se voit investi de responsabilités. Débordant d’ambition et plein d’énergie, c’est la confirmation de son implication dans le domaine humanitaire et social. S’en suivront de nombreuses réalisations dans les associations où il passe. Il en devient à chaque fois la mascotte, une locomotive, l’élément fédérateur. Désormais surnommé « l’humaniste », pour son dévouement, il parvient à unir avec talent musique et action humanitaire. D’autre part sa chanson « Sans Alcool » continue de susciter de l’intérêt et sera primée par la Sécurité Routière en 1994 dans l’Opération Label Vie où il recevra des mains du Préfet de la Région Lorraine et Marguerite Puhl Demange PDG du Républicain Lorrain une contribution de cinq milles francs de l’époque. Son sens humain, son sérieux, des affaires et son organisation séduisent.


    Il se tourne aussi vers le monde de l’entreprise pour convaincre des bienfaits de la musique pour les cadres, le personnel. Il leur explique que la musique peut améliorer la performance de chacun, celle de l’entreprise. Aussi, il se bat aussi pour que l’enseignement de la musique soit accessible à tous.


    Auteur compositeur arrangeur de « Sanzal » en 1988, chanson et disque 45T où son idée était de faire intervenir des anciens alcooliques -citant une phrase sur la musique- au profit de l’association « Club Sanzal » à l’initiative de bar sans alcool portant le même nom, lieu de rencontre des malades de l’alcool. Cette chanson deviendra l’hymne de l’association. Il cède les revenus de vente du disque et de ses droits d’auteur pour financer des cures de désintoxication et soins aux malades alcooliques et se rendra disponible pour parler avec eux. Il fera cette année 1988 sa première télévision sur RTL à la légendaire Villa Louvigny. Également sa rencontre avec Jacques Navadic sera déterminante. Il va accroître le rayonnement de toutes les associations où il s’engagera. Sa méthode se compose « d’ouverture, de force et d’action. »


    Sa grandeur, ce qui le distingue est la musique plus que la chanson, ses créations, l'auteur compositeur et pianiste, étonnent. Les professionnels du métier tout comme ses parents lui conseillent de privilégier cette piste. Il s'entête à chanter. Finalement c'est le public qui va plébisciter son répertoire et sa musique. Fini Mozart ou Chopin au piano, ou encore la chanson. Il dévoile ses propres compositions au classicisme marqué, des musiques du monde, des styles aussi variés que des rythmes fougueux, allant de la musique planante ou romantique jusqu'au jazz ou Boogie Woogie sont depuis cette année-là associé à son empreinte artistique. 


    Son style plait. Sur scène, son énergie, son sourire, son authenticité, et l'émotion qu'il suscite surprennent. Il est vraiment lui. Il a une histoire à raconter à son public. Il y a un mélange de la vie de son père immigré italien qui a réussi en France, et sa mère lorraine, région au centre des événements les plus marquants de notre histoire notamment à travers la Grande Guerre et la deuxième guerre mondiale. Aussi, il défend le monde ouvrier, les simples gens pour qui il a un amour profond. Il y a aussi sa sensibilité musicale éclectique venant d'un parcours unique, batterie, accordéon, la musique populaire, le contact avec le public issu du bal, il vient du cru avec une vision large et grande, il embrasse soudain le monde. Sa classe, son humanisme, séduisent, il réunit les ouvriers tout comme la haute société avec son cœur. c'est sa force.


    Tout cela ne lui empêche pas de glisser une ou deux chansons dans ses prestations lorsque cela s'y prête. Mais c'est le musicien qui est star. Dans son smoking, il est intemporel. Figé, là, imprenable et pourtant si proche du public.


    Il dit en 1989 à 18 ans, tout en symbolique : « Mon piano est un bateau de croisière, j'y emmène à bord le public, mon foulard blanc est la voile de la paix et de l'amour qui nous fait avancer, mon smoking est l'armure pour affronter les pirates, et mon papillon est le printemps que j'ai dans le coeur. »

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En 1989, il passe avec succès son examen d’arrangeur pour orchestre. Ce qui intéresse les producteurs de films car John-Frédéric est capable de composer des musiques symphoniques de plusieurs styles et que sa formation musicale lui permet d’écrire sa musique pour les différents instruments, ainsi que sa capacité à diriger les séances en studio et orchestres. Il faut dire aussi que le musicien John-Frédéric a bien des atouts : il a commencé par la batterie acquérant les notions de rythme, l’accordéon l’instrument populaire, la guitare classique avec laquelle il va aussi s’initier à une musique flamenco/manouche et le piano qui est sa base de création. A Paris, les galeries de peintures le séduisent, il devient amateur d’œuvre d’art, à 18 ans, il commence à être invité dans les vernissages. Son ambition est déjà d’ouvrir une galerie d’art, chose qui sera faite beaucoup plus tard en 2006 au profit de nouveaux talents. Il ne renonce jamais à ce qu’il se promet.

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    1989 sera aussi une année où il va explorer différents styles musicaux, les folklores du monde, il va aussi s’intéresser à la littérature classique, aux lettres, il va mettre en musique une Fable de la Fontaine qui s’intitule « le Singe ». Avec un ami étudiant en philosophie, il va aussi s’essayer à ce qu’il appellera une expérimentation musicale, la création d’une illustration musicale de l’œuvre philosophique « l’Esthétique Transcendantale » d’Emmanuel Kant dans un style pianistique très ouvert aux bases classiques. Cette initiative restera une curiosité ayant valeur d’exception dans l’ensemble de l’œuvre musicale de John-Frédéric Lippis.


    1990, l’année qui va le consacrer un peu plus et lui ouvrir les médias. Devant « la logique de guerre » annoncée par le Président Mitterrand, il s’émeut. La guerre du Golfe est sur le point d’éclater, un membre de la parenté est engagé dans l’armée est présent sur le front. Il souhaite lui envoyer une lettre pour les fêtes de noël qui approchent pour lui témoigner son affection, puis plus grand encore, il écrira une chanson qu’il enregistre et envoie sous forme de cassette audio, aux soldats du régiment de sa ville, présents sur place au front, La cassette sera dupliquée et c’est un hommage et soutien à tous les soldats français du Golfe qui est né. « La Marche du Désert »


    1991 la guerre du Golfe éclate, le disque 45T de la chanson « La Marche du Désert » sort et c’est une tempête médiatique qui s’abat sur lui, la presse régionale, nationale en parle, la télévision, la radio et dans certains FM il entre même dans les Hit-parades des radios locales. Pour expliquer ce disque, il dira aux journalistes « J’ai voulu parler d’amitié et de paix ». Il occupe la scène publique, il sera chez les anciens combattants, dans les commémorations, toujours dans l’humanitaire et défendra les valeurs de liberté, du travail, du respect et de la paix. C’est à ce moment que le compositeur devient une exception. Il est présent dans des milieux opposés : L’environnement éveillé des affaires ou des Institutions et le monde « rêveur » artistique. John a grandi dans une famille au sein du monde de l’entreprise, du commerce et d’un père actif dans les associations sociales italiennes en France. Il a les pieds sur terre et la tête dans les étoiles. Ce disque produit par son père sera bien accueilli par le public. On retiendra sa rencontre avec le Général Maurice Schmitt, chef d’État-Major des Armées, à son retour du Golfe où il écrit ces quelques mots au compositeur « A John-Frédéri

    l’auteur compositeur du chant du Golfe, ces quelques témoignages sur l’itinéraire qui m’a conduit ». 10 ans plus tard, John se distingue avec cette chanson par les félicitations du Président de la République Jacques Chirac lors du dixième anniversaire du conflit en 2001 où le Président lui adresse une lettre de reconnaissance de la Nation. Le 5 mai 2001 pour les commémorations de cet anniversaire il est invité par les anciens de la Division Daguet à dédicacer son disque et recevra en cadeau l’insigne de la Division Daguet.


    « La Marche du désert », en 1991, devient alors son plus gros succès et le fait connaître davantage. Une reconnaissance même. Mais déjà, il veut se renouveler et pense à la suite. Il veut pénétrer dans la grandeur musicale. Le piano sera son passeport.


    En juillet 1991, à 20 ans John fait son premier récital au piano avec ses compositions personnelles, ce qui va lui ouvrir une nouvelle voie artistique par rapport à la chanson.


    Son côté explorateur de musiques le mène aussi à prendre des cours d’orgue liturgique, pendant un an, l’orgue est un instrument qu’il aime pour son côté spirituel et intérieur. Il confirme ainsi un travail parallèle entre la musique et l’humain.


    En 1992, à 22 ans, il réalise un de ses rêves, être signé par un label, son premier album au piano aux Editions Ellébore à Paris, intitulé « Bleu Nuit » qu'il a composé entièrement, sortira en 1993 à l’international. John-Frédéric peut se réjouir de goûter dès l’âge de 22 ans à une carrière internationale.


    C’est aussi à cette période que débute ses interventions et conférences dans les entreprises et institutions.


    Il y aussi une nouvelle expérience que John-Frédéric n’avait pas prévue : il est nommé chef de Chœur d'une chorale. Avec cet ensemble, il participera à des festivals et aux manifestations commémoratives. Il a toujours privilégié les opportunités que la vie lui donnait, il est à l’écoute de sa destinée. Son amour pour le chant choral est confirmé.


    Décembre 1993, il entre au Service National affecté au 40e Régiment de Transmissions de Thionville. Il fait ses classes et interrompt quelques semaines ses multiples activités. Mais déjà l’armée le libère trois soirées pour honorer ses engagements et ainsi accomplir 3 concerts de Noël avec sa chorale.

    En 1994, après la permission de noël, retour en caserne où il sera très actif, il est secrétaire, soldat modèle, constatant que certains jeunes appelés sont illettrés, il va se consacrer à donner des cours de français et d’écriture. Il va aussi participer en jouant au piano lors du repas de gala à la prise d’Arme à Hesperange au Luxembourg marquant l’amitié entre les deux pays. Il deviendra très ami avec le Député Maire de la commune luxembourgeoise Alphonse Theis, le Luxembourg a une place particulière dans son cœur. Il composera pour le régiment une musique militaire « l’hymne Chef de Corps » en hommage à son Chef de Corps tout juste décédé.


    Décoré de la Médaille de Bronze de la Défense Nationale, l’armée sera un excellent souvenir pour John-Frédéric où il aura beaucoup appris sur la vie et les hommes.


    Voyant sa réputation grandir, une autre chorale, le Mas du Mineur à Hayange fait appel à ses compétences et le désigne comme leur Chef de chœur. Il recevra beaucoup de sollicitations de part et d’autre. Il accepte volontiers avec fierté la proposition de représenter l’héritage des mineurs par le chant, lui-même attaché aux populations qui s’y trouvent, immigrés italiens ou polonais en majorité. Également en 1994, le groupe de chant franco-italien d’Algrange le nommera président d’honneur du groupe pour services rendus. Bien mérité pour John qui produira pour le groupe plusieurs enregistrements en CD album ou cassettes en plusieurs milliers d'exemplaires reprenant les chants populaires italiens. Son implication dans les milieux italiens n’est pas nouvelle car il œuvre depuis 1987, notamment au profit de l’amicale des Italiens de Thionville et d’autres associations comme les A.C.L.I.


    1994 John-Frédéric est invité à sa première grande soirée gala à Paris. Le général Jean Brem l’a convié à la soirée de gala des Lorrains qui se déroule au Fouquet’s Europe de La Défense. John interprétera trois morceaux de sa composition au piano devant le Ministre des Télécommunications de l’époque Gérard Longuet ou encore le pianiste compositeur « oscarisé » à Hollywood Claude Bolling. Sa performance est saluée et John-Frédéric va devenir les années passants un habitué des soirées de gala recevant des invitations prestigieuses dans de hauts lieux au quatre coins de l'Europe.

    En 1994, il commence à enseigner le piano. En 1995 il est aussi élevé président d’honneur du Comité d’Organisation du Concours régional à Vigy de la Confédération française des Batteries fanfares. Il offre d’ailleurs un récital de piano d’ouverture à cette grande manifestation. Il aime cette action car elle contient ses ingrédients préférés : la musique, l’associatif, le public.

    1997, L’éditeur de John-Frédéric satisfait de leur première collaboration avec l’album « Bleu 

    Nuit » lui passe commande d’un deuxième album. Il se met alors à l’écriture, mais avait déjà 50% des titres écrits. Il décide d’enregistrer son album qui s’intitulera « Nocturne » à l’Arsenal de Metz, « un écrin sublime et unique comme salle de concert » selon ses propres termes. John est un amoureux de Metz, de la Moselle, la Lorraine, il défend « son » territoire. Cet album sera aussi distribué internationalement. De plus, il promeut aussi ses racines italiennes dans l'album. En 1998, l’album Nocturne sort dans les bacs, John offre naturellement un concert de lancement de l’album à l’Arsenal où il a enregistré. Le public est au rendez-vous.

    Une anecdote est à retenir cette année-là, John-Frédéric va jouer avec « le feu » en osant interpréter, avec son sourire généreux, des musiques de relaxations en plein milieu d’une soirée en discothèque où il était invité à se produire mais il a changé le programme et a joué des morceaux de l’album « Nocturne ». C’était dans la boîte de nuit du frère de Patricia Kaas qui l’avait invité. Ce fut un succès malgré le regard médusé du public durant la première minute.

    Il commence l’année 2000 avec les honneurs de la presse nationale, une belle reconnaissance pour son album « Nocturne » cité par le magazine « Top Santé » comme apaisant et musique de bien-être. Il a aussi une dédicace du professeur Christian Cabrol qui lui écrit son admiration pour son action de mêler la musique et la santé. En effet John-Frédéric depuis son adolescence n’a jamais cessé de se produire dans les hôpitaux ou maisons de retraite pour y amener du divertissement et faire progresser ses recherches sur le binôme « musique santé », et il a aussi encouragé d'autres musiciens à s'y produire.

    En 2002, après un travail de composition pianistique et de recherche, il signe un contrat d’enregistrement à l’Opéra National de Paris. Il va enregistrer son œuvre lors d’une chaude journée d’été le 17 juin 2002. Au courant de cette année 2002, John a un rêve qu’il veut réaliser : produire un concert dédié aux musiques traditionnelles de l’Italie qui ont bercé l’immigration du début du 20ème siècle jusque dans les années 60. Il fera un travail de recherche des musiques et commencera la réalisation d’un spectacle. Il veut redonner vie aux chansons que son grand-père jouait à l’accordéon ainsi que son père.

    En 2003, son spectacle « Profumo d’Italia / Parfums d’Italie », concert donné le 5 mai 2003 au célèbre Casino de Paris où le succès sera au rdv. John-Frédéric sera reçu par Son Exc. Giovanni Dominedo Ambassadeur d’Italie en France qui le recevra dans son bureau de la rue de Varennes et saluera l’initiative en lui accordant son Haut Patronage. John-Frédéric obtient un autre soutient en point d’honneur à son talent et ses actions, celui de la Représentation Permanente de l’Italie auprès de l’Unesco. A cela, il faut ajouter le parrainage moral de la Chambre du Commerce italienne pour la France de Paris et de nombreux sponsors comme Lancia, Alitalia, Paolo Soprani, le magazine Focus, etc. Il aura aussi le précieux soutien enthousiaste de l’actrice Claudia cardinale.

    Le 26 septembre 2003 il se produit au Théâtre d’Esch à Luxembourg avec le soutien de Mme le Bourgmestre Lydia Mutsch, concert enregistré fidèlement par RTL.


    2004, John enregistre l’album « Profumo d’Italia / Parfums d’Italie » en choisissant les titres les plus représentatifs du nord au sud de la péninsule, Bella Ciao en tête. Il interprètera les chansons dans leur dialecte. Sur cet album, il compose et interprète une musique à l’orgue liturgique « Dal Mare Ai Monti » un hommage à sa Sainte le Pape Jean Paul II de son vivant.


    2004, un disque de reprise de chants de Noël qu’il produit dont il écrit de nouveaux arrangements titrés « La Féerie de Noël » dédié aux otages en Irak d’alors, Georges Malbrunot et Christian Chesnot et au profit de Reporters sans frontières, pour la liberté d’expression…

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L'Homme a la valeur de son coeur


Dans sa vie, John-Frédéric se plaira à tisser des liens improbables ou inattendus avec des personnes toujours différentes de lui, que ce soit d'origines, de religions, de visions, il y a sans cesse cette présence du mélange des genres, mieux encore du mariage des genres. il le fait habilement et si respecteusement. Sa vie est bâti sur la différence et la tolérance.  Il s'immisce dans le populaire comme dans la bourgeoisie. Il réconcilie les gens entre eux que ce soit avec son accordéon ou le piano. Sa force est de rester le même.


En 2005 il est invité d’honneur au Téléthon à Reims de France 2 où il donne un récital de piano avec un répertoire éclectique. Il offre également une page originale d’une de ses compositions pour une vente aux enchères faite par un commissaire-priseur, toujours au profit du Téléthon pour lequel il ne compte plus ses participations.


Toujours la même année il est le compositeur arrangeur et producteur de « God’s Will be Done » disque de 3 titres au profit des sinistrés de Louisiane avec le soutien moral du Consulat des États-Unis de Strasbourg et de l’association Lorraine États-Unis au profit de France Louisiane.

  • Savoir plus

    Il commence en cette même année 2005 l’écriture de musiques sur le thème « Auschwitz » pour le devoir de Mémoire. Il recevra les encouragements de Mme Simone Veil entre-autre présidente de la Fondation de la Shoah à l’époque. Ces musiques restent pour l’instant inédites.


    En 2007, il reçoit une lettre de reconnaissance de la Nation Française signée par le Ministre de la culture R. Donnedieu de Vabres pour son engagement intense au service de la collectivité, l'intérêt général, comme de la musique, ses réalisations. Il en fut très ému.


    Cette année-là, il fonde l'Académie de piano JF Lippis, l'enseignement le passionne, plus encore, transmettre sa passion est la plus belle chose dont il rêve.


    2009 et 2010 sont consacrées à des concerts Profumo d’Italia dont un des derniers à lieu sur la parvis de la gare de Metz, élue plus belle gare de France, l’endroit même où beaucoup d’italiens sont arrivés pour s’installer en France au moment des grandes années d’immigration.


    2015 Sorti de son premier livre « Défendons l’humain - La France n’est pas à réformer mais à reformer » chez Fortuna éditions. L’occasion de présenter son ouvrage au salon du livre de Paris ainsi qu’à Luxembourg ou encore Monaco, lieu cher à son cœur.


    En 2017, John-Frédéric compose « Memory » un titre au piano pour commémorer le centenaire de la Grande Guerre. Ce titre obtiendra avec le clip vidéo plus d’un million de VUES sur YouTube. Le 26 mars 2017, John-Frédéric se produit à Verdun au Mémorial sur le champ de bataille. Le Récital du Centenaire avec le soutien moral du Président de la République François Hollande et celui de l’ancien président Nicolas Sarkozy. Un succès.


    2021 Sortie du livre « L’homme à la valeur de son cœur » retraçant l’histoire de Karol Wojtyla (Jean Paul II) accompagné d’un cd album musical où il retrace en musique et en lettres la vie d’un être qui a marqué son époque, entre joie et souffrance, une histoire qui met aussi en lumière l'amour de son prochain, le coeur. Si la musique reste sa priorité, il est épris de littérature et se tourne vers l'écriture. Sa créativité est constante.


    Septembre 2021 : sortie sur toutes les plateformes de téléchargements et de streaming et YouTube de "MOZARTIST" une adaptation en version dream d'un extrait de la 40è symphonie de Mozart.


    Février 2022 sortie de son livre "Dans le Choeur de MOZART", il décrit l'importance du génie dans la vie des gens à travers les époques, ainsi que tout ce qu'il a pu lui apporté dans sa carrière, son quotidien, avec une biographie intéressante sur l'enfant prodige.


    « Prendre du plaisir, être un distributeur de joie. »


    Artiste multi-instrumentiste, aux multi-talents, et des compétences dépassant le milieu artistique, il véhicule des valeurs, et aussi la joie d'avoir réussi et fait de sa passion, son métier.


    Son respect et son amour du public ont fait de lui un homme aimé dès le début. Ce qui le caractérise est son amour sincère pour les gens.


    « Le public, c'est L'Himalaya, il vous porte à gravir les tous sommets, d'abord les vôtres, puis ceux de la vie. On ne peut détester ou souiller l'humain, il faut aimer et pardonner pour grandir. »

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